L’art qui dialogue avec l’environnement
Communiqué de presse
La galerie Georges-
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Gilles Aillaud
Important
Marika Prévosto
À
sandie hatem
jul 1 à 2h10 PM
Gilles Aillaud, Le silence sans heurt du présent
En coproduction avec les Musées des beaux-
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Exposition du 10 décembre 2016 au 05 mars 2017.
Fondation Maeght, 623 chemin des Gardettes – 06570 Saint-
Exposition du 10 décembre 2016 au 30 mars 2017.
Espace de l’Art Concret, château de Mouans – 06370 Mouans-
À l’Espace de l’Art Concret, mettant en jeu le concept d’art total dans C’est à vous de voir..., , Pascal Pineau investit les espaces du Château pour en retrouver la fonction originelle, interrogeant la valeur d’usage des œuvres. Expérimentant les limites du décoratif et de l’ornemental, il ouvre un dialogue entre pièces issues de l’artisanat, du design, objets de brocante et œuvres d’art ‘proprement dites’. Ainsi, les salles d’exposition se transforment en une succession d’espaces domestiques fictifs. Cuisine, bureau, salon, chambre d’enfant, suite parentale… chaque pièce peut se percevoir comme un portrait en creux de l’artiste qui pose un regard introspectif sur une trentaine d’années de pratique artistique.
Sur l’invitation de Pascal Pinaud, Alexandre Curtet, fondateur de Loft interior designers, a été sollicité pour concevoir l’aménagement intérieur de ces espaces en dialogue avec ses œuvres, mais aussi celles d’artistes avec lesquels ce dernier partage des affinités esthétiques, comme Noël Dolla, Mathieu Mercier, Natacha Lesueur, Philippe Ramette…
Expositions du 2 décembre 2020 au 30 janvier 2021. Galerie Georges-
© ArtCatalyse / Marika Prévosto 2007 -
L'Intégrale de Richard Baquié photographie un paysage fictif assemblant divers sites repérés à travers le monde. Gilles Barbier s'empare d'un dictionnaire de 1992, un outil désormais considéré comme désuet, pour en explorer le langage, le lexique et la syntaxe, une écriture que personne ne lit plus. Les tableaux de Julien Beneyton jettent une lumière crue réaliste sur l'espace urbain ou rural, sans jugement de valeur. Julien Berthier porte un autre regard sur la cité, pointant ses détails anodins porteurs d'anomalies sociales ou architecturales, aux franges de l'illégalité. Les voyages, randonnées, interventions dans l'espace public d'Alain Bublex le poussent à inventer une transformation du monde au sein du quotidien.
Sont également exposés les graffiti, dessins et signes apposés sur les murs et photographiés par Brassaï durant toute sa carrière depuis les années 1930. Dans un registre proche, la jeune artiste cubaine Diana Ponseca collecte les écailles de peinture des murs décrépis de La Havane. Ces débris deviennent la palette de son travail pictural. Ses œuvres abstraites restituent la désuétude de son environnement. Pour sa part, William Wegman recueille des cartes postales anciennes autour desquelles il peint depuis le début des années 90 des paysages sur toile. Il matérialise ainsi la singularité d'un horizon désormais disparu.
Enfin, « Noël » de Joanna Zhiri offre un lointain écho à la dernière ballade de Walser – blanche, froide, figée – le 25 décembre 1956, là où la vie a fini par rejoindre l'oeuvre et l'oeuvre la vie de l'éternel auteur-
Dans son espace 33 rue de Seine, suite à l’annulation successive des foires, la galerie Vallois a également décidé de participer à Photo Saint Germain et Photo Days, et présente parallèlement à l'exposition La promenade, un stand « à la maison » avec les travaux de Pilar Albarracín, Julien Berthier et Alain Bublex, intitulé Paris Photo @Home!